Réalisateur de la sympathique comédie horrifique Blood Fest, Owen Egerton rentre dans la grande maison Blumhouse avec Mercy Black et livre une bobine horrifique sombre, puissante et tendue. Assez peu de films l’ont fait, il est donc important de le souligner : Mercy Black plonge dans le phénomène fascinant des creepypasta, ces légendes urbaines parfois virales diffusées sur internet. De ce fait, Mercy Black n’est pas un simple film de fantômes et aborde autant la schizophrénie et la quête de rédemption que le pouvoir manipulateur et dangereux d’internet.