Dans la veine de Get Out et Rosemary's Baby, Spiral gratte le vernis d'une société bien-pensante et pseudo-progressiste pour en révéler toute l'hypocrisie et la perversion. Au-delà d'une gestion de l'angoisse habile et insidieuse, c'est donc un discours politique nécessaire et pertinent qui se dessine dans les fissures de ses images cauchemardesques.