976-EVIL : La Ligne du Diable
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976-EVIL

  • 80s
  • Possessions et Démons

Synopsis

Les personnes composant le 976-EVIL reçoivent des pouvoirs surnaturels et deviennent des tueurs sataniques. Lorsque Spike a composé le numéro, il savait que c'était un appel payant, mais il ne savait pas qu'il devrait le payer de son âme.

Pourquoi voir ce film ?

Allô ? C’est Satan au bout du fil(m) ! Pour son premier passage derrière la caméra, Robert Englund (Freddy Krueger himself) signe une série B délicieusement improbable : l’histoire d’un adolescent introverti qui compose le “976-EVIL”, une ligne directe… avec le Diable. Peut-être que cette force démoniaque fraîchement invoquée saura le faire sortir de sa coquille ? Le scénario (prometteur mais finalement un peu trop sage) est signé Rhet Topham (le Trick or Treat de 1986) et Brian Helgeland, futur poids lourd d’Hollywood qui écrira L.A. Confidential, Man on Fire et réalisera Payback. Argument marketing imparable à l’époque, la présence d’Englund derrière la caméra (il y reviendra pour quelques épisodes de la série Freddy et la comédie horrifique Killer Pad en 2008) attire logiquement les fans et contribuera au succès du film, surtout en vidéo. S’il ne s’épargne pas quelques maladresses de débutant, le maître des cauchemars livre une bobine bis sympathique, devenue délicieusement kitsch et donc très amusante, et un parfait témoignage du fantastique 80s : effets pratiques généreux, humour noir et parfum irrésistible de VHS poussiéreuse.

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